3.000 festivaliers étaient à Gignac, vendredi, pour la première soirée d'Écaussystème. Pour cette première date, le rendez-vous avait quelque chose de spécial : IAM était de la partie.
On dit d'eux qu'ils sont les maîtres de la scène rap. Leur passage à Gignac, vendredi soir, n'a fait que confirmer la légende. Vendredi, alors que Percubaba quitte la scène en laissant derrière lui une ambiance roots et détendue, les techniciens changent le matériel de scène. Malgré la pause, chacun reste à son poste, pas question de perdre sa place pour le passage d'IAM. « Ça va être énorme ! », entend-t-on dans la foule.
23 h 15, le public appelle ses idoles. Les dj rejoignent leurs platines. Premiers sons. Hurlements. Lumières éteintes, lampe torche allumée à la main, Akhenaton, Shurik'N, et leurs acollytes, les pionniers de la prose scandée made in Marseille, s'avancent. Hystérie.
Lumières, « Assis en tailleur voilà des heures que je médite... ». C'est parti pour près de deux heures de liesse, entre rap viscéral, transmission de messages et acclamations.
Bras en l'air, la foule récite les textes mieux qu'un poème appris en classe. Premier sourire d'Akhenaton.
Les rappeurs testent le public, expliquent le pourquoi de leurs morceaux, « dans cette musique, on parle beaucoup de chiffres. On voulait, le temps d'une chanson, redonner leurs lettres aux lettres ». Puis viennent Les Bad boys de Marseille, Chez le mac, Official... Les bras ne se baissent pas. Les sourires restent sur les visages. Ce soir, IAM offre un florilège de ses titres, et ça plaît.
Politique, choix de vie, éducation, chaos du monde... Les sujets traités sont nombreux. C'est intense, fin, sans concession, généreux. Quand la fin est proche, la prestation ne perd ni fraîcheur ni saveur. Sabres laser pour L'empire du côté obscur, neuf minutes de rimes enflammées pour Demain c'est loin, un feu d'artifice romancé pour Petit frère... C'est propre, scotchant, transgénérationnel et coloré. Un grand moment, que le site n'est pas prêt d'oublier.
On dit d'eux qu'ils sont les maîtres de la scène rap. Leur passage à Gignac, vendredi soir, n'a fait que confirmer la légende. Vendredi, alors que Percubaba quitte la scène en laissant derrière lui une ambiance roots et détendue, les techniciens changent le matériel de scène. Malgré la pause, chacun reste à son poste, pas question de perdre sa place pour le passage d'IAM. « Ça va être énorme ! », entend-t-on dans la foule.
23 h 15, le public appelle ses idoles. Les dj rejoignent leurs platines. Premiers sons. Hurlements. Lumières éteintes, lampe torche allumée à la main, Akhenaton, Shurik'N, et leurs acollytes, les pionniers de la prose scandée made in Marseille, s'avancent. Hystérie.
Lumières, « Assis en tailleur voilà des heures que je médite... ». C'est parti pour près de deux heures de liesse, entre rap viscéral, transmission de messages et acclamations.
Bras en l'air, la foule récite les textes mieux qu'un poème appris en classe. Premier sourire d'Akhenaton.
Les rappeurs testent le public, expliquent le pourquoi de leurs morceaux, « dans cette musique, on parle beaucoup de chiffres. On voulait, le temps d'une chanson, redonner leurs lettres aux lettres ». Puis viennent Les Bad boys de Marseille, Chez le mac, Official... Les bras ne se baissent pas. Les sourires restent sur les visages. Ce soir, IAM offre un florilège de ses titres, et ça plaît.
Politique, choix de vie, éducation, chaos du monde... Les sujets traités sont nombreux. C'est intense, fin, sans concession, généreux. Quand la fin est proche, la prestation ne perd ni fraîcheur ni saveur. Sabres laser pour L'empire du côté obscur, neuf minutes de rimes enflammées pour Demain c'est loin, un feu d'artifice romancé pour Petit frère... C'est propre, scotchant, transgénérationnel et coloré. Un grand moment, que le site n'est pas prêt d'oublier.
je devais y aller !!! mais putain je me suis trompé de Gignac , j'ai cru que s'était à gignac 34000 !!mais nn c'était 46000, je suis passé de 1H de route à 5h de route, j'ai pas pu y aller !! la Mort!!!!!!!!!!!!
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