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lundi 14 mai 2012

Les lyrics du morceau "Mon fils" de Shurik'n




Regarde moi bien au fond des yeux et contemple un amas de haine
Autant d'années passées à ressasser 100 fois la scène
Tout ce temps à faire semblant m'efforçant  à sourire aux gens
A maintenir ma peine et ma colère sous le silence
Souvent j'ai cru ne pas pouvoir tenir ne plus pouvoir mentir
Y'avait trop de colère je voulais pas leur faire subir
Alors j'ai gardé ça en moi et je l'ai laissé grandir
Parallèlement toi je t'ai gardé dans ma ligne de mire
Les proches ne savaient plus quoi faire pour me redonner vie
Mais en tête je n'avais qu'un seul but et plus aucune envie
Je sais qu'ils   s'inquiétaient pour moi pensant à l'avenir
Ils ne savent pas que ce jour là je suis passé en mode survie
Et depuis chaque jour j'enfile ma plus belle tenue
Celle du mec qui va mieux pour qui le calme est revenu
Mais sans rien dire j'ai accroché ma vie à ton visage
et mon coeur s'est noirci doucement se nourrissant de rage

REFRAIN (x2)

Je glisse lentement vers  le noir je le sens
Et la raison pour laquelle ça arrive tu la sais
Si dieu fâche tant pis je ferais sans
Aucun retour possible tu le sais je le sens

Tu sais pas à quel point j'attendais ce moment
Laisse moi lâcher ce poids que je traine depuis trop longtemps
Écoute à cause de toi je n'ai plus sa bouille au petit déj'
Son sourire comateux ses petites mains qui vers moi se lèvent
Et chaque jour n'est fait que du manque de sa voix
Et je me surprends à espérer que ses jouets jonchent le couloir
Seulement il reste vide comme moi
Personne viendra me chercher pour mater Naruto collé au creux de mes bras
Plus de cache cache plus de bagarre  plus de Mario kart ni même de virée au parc
Il n'entendra pas tout ce que j'avais à lui dire des histoires inventées de ninja de sabres magiques
Tu m'as privé du plaisir de le voir grandir
 Il m'a donné le meilleur et toi tu m'as rappelé qu'il y avait le pire
A l'église on m'a dit qu'il est bien où il est
Mais qu'est ce que j'en ai à foutre c'est moi qui aurait dû y aller
Tu vois je suis toujours là et la moitié de moi est ailleurs
 l'autre elle pleure sur ses joues des larmes pleines de fureur
De celles que nul ne serait calmer de celles que  le diable même refuserait d'affronter
On dit que le temps guérit les plaies les plus tenaces
Mais les plus grandes restent ou laissent toujours une trace
Vas y implore ton dieu à genou moi je m'en fous
ton dieu il m'a lâché la main le jour où il m'a pris mon bout de chou
Je dors plus la nuit je tourne en rond
je parle à ses photos je bloque sur son lit les yeux au plafond
Un fois sur deux je m'endors dans sa chambre et au réveil
A chaque fois c'est le même cauchemar qui recommence
Ça fait un bon moment que je marche au bord du précipice
Je m'apprête à franchir la ligne où s'arrête l'humanité
Y'a des amours qui valent bien tous les sacrifices
Fallait pas tuer mon fils

REFRAIN (x4)

lundi 7 mai 2012

Les lyrics du morceau "Bombe le torse"



A l'heure où les femmes crèvent frappées par la famine
D'autres meurent pour ressembler à celles des magazines
Y'a des vitrines pleines autant d'estomacs vides
Y'a des Mcdo un peu partout et trop d'anorexiques
Y'a des prix qui s'enflamment des foyers qui se noient
Des gens qui cèdent au crime et d'autres qui embrassent la croix
Trop des gens qui détruisent et trop peu qui réparent
Trop d'avides qui agissent usant des lois comme d'un rempart
Y'a des factures qui tombent froidement telle une sanction
Tant d'exactions mais à chaque fois eux esquivent l'addition
Surtout n'essaie même pas toi on te ratera pas
Ceux qui marchent de travers exigent de toi que tu files droit
Y'en a qui pense qu'au cash des bijoux plein les mains
Pendant ce temps là un gamin vend son rein pour un bout de pain
L'homme reste un loup pour l'homme pas si bête mais tellement con
On pensait voir et depuis le début on avance à tâtons.

REFRAIN

Tout ça parfois ça fout la trouille on serre les quintaux
Ça laisse beaucoup trop de place au doute alors on sort les crocs
On fait partie de ceux qui ne lâchent pas le morceau, mino
Relève la tête bombe le torse et vise le ciel, mino
Y'a plein de raisons de jeter l'éponge quand on voit tout ce chaos
Et si jamais l'envie te vient quand tes rêves tombent chaos
Lève les mains serre les dents et éclate moi de pao
Relève la tête bombe le torse et vise le ciel, mino.

Y'a de l'amour plein les foyers et des gosses maltraités
Y'a des familles soudées et certains frangins se détestent
Y'a des potes pour la vie et des miettes d'amitié
Des sentiments qui naissent et autant de flammes qui s'éteignent
On se connait pas on se tue même quand on s'aime on saigne
On cherche tous le bonheur souvent quand on le trouve on le brûle
Ce diamant-là se consume comme le papier d'une cigarette
T'as plus que le temps de graver son sourire sur pellicule
De plus en plus d'amis et toujours plus fratricides
Mauvaise rumeur même internet a déjà ses victimes
Ils stigmatisent nos Petits frères les traitant de sauvages
Eux la colombe ils l'ont shootée direct au décollage
Surtout mate pas les signes y'a que des mauvais présages
On se méfie des grands sourires tout comme des grands chlass
On sait qui prend les coups lorsque haine et amour se chamaillent
Mais on ne sait toujours pas lequel remportera la bataille.

REFRAIN

jeudi 3 mai 2012

Les paroles du morceau "Dans le Ciel"


Parfois la vie nous pique au foie on voudrait les nôtres immortels
Combien se sont barrés sans dire au revoir à tire d’ailes
Combien manquent à l’appel et laissent un vide quand vient le soir
Combien jadis douillets aujourd’hui restent froids
Combien de temps il a vraiment fallu pour y croire
Même à présent on le sait seulement on s’y fait toujours pas
Combien de gens partis trop tôt sans qu’on n’ait pu leur dire
Qu’on les aimait vraiment sans honte et sans se retenir
Combien de projets d’avenir ont fini shootés en plein ciel
Combien de sonneries la nuit et autant de mauvais réveils
Ce jour où on nous dit « écoute il faut que tu sois fort »
Ce jour qui crucifie les cœurs fais de pierres ou en or
Ce jour qu’on maudit tous et qui chaque année nous rappelle
Que le temps n’efface rien seulement voilà on vit avec
On se console comme on peut alors souvent on lève la tête et on fixe les étoiles en espérant le reconnaître.

REFRAIN
Et parfois dans le ciel quand le jour s’est enfui
Il y a un ange qui s’éveille une étoile qui scintille
Quelqu’un qui nous sourit qui sur nos vies veillent
On peut sentir ici le vent que font ses ailes
Et parfois dans le ciel lorsque rugit la nuit
Un souvenir s’élève droit vers l’infini
Un astre s’illumine comme un clin d’œil céleste
Cette caresse sur nos joues la douceur de ses ailes


Combien de pères de mères se sont vus de leur chair délestés
Combien de gerbes dans des virages trop raides et trop arrosés
Combien de frères de sœurs de fleurs devant des corps alités
Combien de battements subitement se sont arrêtés
Et toutes ces belles phrases censées consoler
Qu’on sait au fond de nous mais que la peine nous empêche d’écouter
Frappés par la douleur combien se sont effondrés
Entre colère et tristesse parfois c’est dur de se relever
Qu’on s’y attende ou pas quand ça arrive ça gifle
On se demande pourquoi c’est toujours les bons qui tirent l’as de pique
On garde en tête ces moments qui nous font sourire seul
Lorsque le manque se fait trop fort y’a plus que ça qui nous fait tenir
Alors on fait le tri et on garde le meilleur
On le met bien à l’abri dans un tiroir caché au fond du cœur
Et grâce à ça on ne sera jamais tout seul
Jamais en panne dans ces moments où y’a personne pour nous remettre en selle
On sait pourtant que tout ici finit comme ça
Qu’il y a toujours un départ  seulement y’a des envols qu’on admet pas
On se surprend parfois à relever la tête et à fixer les étoiles en cherchant à le reconnaître

REFRAIN  X2

mercredi 14 avril 2010

IAM feat Deni Hines : Peur de vivre



Lyrics:

Deni Hines

Sometimes you walk through life
Like you can do nothing right
You're too afraid to leave too scared to die
Lost on your innocence
You've got no common sense
That's not the way life brought men to be
You got to be up you got to be down
Before you can turn your life around
No matter how hard your life may seem
You got to be up you got to be down
Before you can turn your life around
No matter how hard your life may seem

Shurik'n

Comme une brindille dans le torrent tumultueux, tous on cherche une amarre,
Tous en quête de remparts, se dressant fièrement des lieux où tout est devenu rare,
Souvent craintive, la force créatrice, elle, se rue dans l'placard et nos certitudes aveuglées
Fruit d'la lumière au bout du couloir.
Quand les totems changent le sens de nos louanges s'en retrouvent avilies mensonge et perfidie

Invitent les anges au bal des maudits,
La foi n'est plus qu'un chien docile que l'ignorance dégage du pied faisant place net pour le missile,
Facile façon de dialoguer un œil au sud et l'autre au nord
Sotché à nos besaces, on trace, on fuit ils aiment voir que les corps, regorgent de trésors et dés le prochain fort
Si l'ombre de la faux presse, si l'destin stress, on stoppe les machines craignant que tôt n'apparaisse l'heure des remords,
Le chemin rotor, vient alors, des sentiers battus à tord d'ailleurs tous veulent lui échapper,

Seulement ici ou ailleurs y'a jamais eu qu'une issue.
Beaucoup insistent, sûrs et certains que l'enjeu vaut la mise j'espère qu'là haut y'a une place pour l'déçu chaque jour grossit la liste,
Ballotés par les flots, tant bien que mal à nos bien ont s'arrime,
Croyant qu'l'acquis prolonge un peu d'nos vie quelques uns toujours triment, On se perche sur les cimes des monts comme si la mort, frappait qu'au sol et là nos âmes s'immolent.
Vaincus par la peur de nos propres démons rien n'arrête le torrent, ni privilège, ni barrière de dIamant.
On peut l'admettre que nageant à contre courant,
Là commence le tourment, on risque à chaque tournant au bout d'la course une inévitable attente et juste avant ya la vie, et on peut y faire c'qu'on veut.

Deni Hines

You got to be up you got to be down
Before you can't turn your life around
No matter how hard your life may be
You got to be up you got to be down
Before you can turn your life around
No matter how hard your life may be

Akhenaton

Vivre n'est pas si simple,
Aucune formule succincte ne l'explique,
Des âmes il y en a maintes
Conjugue tout bonheur au passé simple
À force de tourner la tête pour chercher derrière.

On s'enfonce dans les ronces,
Et on y voit plus une simple clairière.
La peur d'mourir, de perdre c'monde
Fais place à la peur d'vivre,
Alors on s'livre, ivres,

C’est la peur d'sourire, d'être libre.
On s'bâtit des bulles, autour d'nous,
On y met tout ce qui nous rassure
En s'disant qu'l'année qui vient sera dure.
Et puis on trouve même plus d'oreille

Pour exprimer cette peine qu'on endure.
On déambule comme caché dans le sang D'un Grabataire en cure
On chute sur ce parterre en dur,
Quand persuadés d'faire bien
On plante un Opinel brusquement

À ceux qu'on aime dans les reins
Soudain, on s'aperçoit de toute l'ampleur d'la solitude celée par nos soins,
Confortés par la routine née de l'habitude fait de lassitude,
S'lamentant sur notre manque d'aptitude à vivre l'instant,
On s'projette souvent sous d'autres latitudes,

Puis on fini par s'croire victime quand on est coupable et peu docile,

La prise de conscience, cela dit, est hors du domaine du possible
Arrivent les rides et l'œil s'pare de faux signes
Mais rien n'empêche les mots passés, eux aussi, de devenir fossile
Cette bulle qui nous entoure est opaque, elle interdit les détours.
C'est la confiance en nous, et nos repères, qui s'écroulèrent en ces tours
Je viens en s'jour pour exposer la nature de celui qui va là : اشحارض اللاخ طثج اللاخ

Deni Hines

If you could have one wish
Tell me would you exist
In the life that you are living now
Or would you back it up
And look for better look
Runaway from your reality
You got to be up you got to be down
Before you can turn your life around
No matter how hard your life may be
you got to be up you got to be down
before you can turn your life around
no matter how hard your life may be.

L'un de mes morceaux préférés - Un jour comme un lion (1997)



Lyrics

Shurik'n

les jeunes grandissent, piquent courent, chutent,
avec un naturel effarant, navré, les parents patientent au parloir, souvent la tête dure les dents longues les mains creuses
l'esprit plein de nuages, le brouillard se dissipe, dès la première barre, pas d'hasard sur le banc d'touche les faibles se couchent les forts touchent du cash louche, comment tu veux qu' le "karlouch" soit pas sur le terrain tant pis si d'autres prennent le deuil et restent sur le seuil faut mener le destin au doigt et à l'oeil, pour les plus zélés y a toujours un cercueil prêt, entraînés par la vie les plus endurcis pleurent aussi lorsqu'un frère est parti ,les jeunes fleurs poussent sur le béton puis tournent en rond certaines finissent avec un tuteur un garrot des hauts talons les murs collent pas avec le temps, les têtes non plus les coeurs non plus, les bleus concluent j'te jure dès fois y 'en a plein l'cul mais bon, on fait avec, Freeman le sait y a pas l'choix sans quoi tu fais une croix alors t'encaisse même les coups bas, le combat en toute catégorie, sans règle, pas d'erreur, fils et monte la garde fils, et gaffe aux remises du vice et aux remises vicieuses, le sort te pique toujours au bon endroit, l'estomac ou quand un coeur crève de froid, c'est comme ça t'y changeras rien moi non plus c'est chacun pour soi travaille ton cerveau, bosse ton uppercut évite la chute, plus de rapport enfant enfance et dominés-dominant, les mômes deviennent des démons, pour s'en sortir c'est dément, vendre cher sa peau le seul lien vaut mieux vivre Un Jour Comme Un Lion, que cent comme un chien, vas-y viens

REFRAIN Akhenathon :

c'est juste un cliché, une parcelle, un flash, une tranche, car ma vie c'est un bordel, un clash, la bataille au bout des lèvres, sans verre d'eau ne mène à rien, mieux vaut vivre Un Jour Comme Un Lion, que cent comme un chien (2x)

Akhenaton

été 77, j'frôle 9 ans, mon idole passe devant le bar salut Gil coup de bol c'est mon cousin Gilbert, soit-disant la sale race, baskets blanches levi's en jeans, fourré classe, avec Lamin, le marocain bâti comme un animal, pas de blague, papy l'appelle "Jacky le Cannibale", il bouffe les types à coup de pêches dans la tête, saute derrière le comptoir, frappe le chef et boit un sly sec , dimanche calme, Spadaro passe en vélo, comme tous les soirs les vieux aux tables de jeux en train de boire, plus tard, Gilbert et son équipe sont tombés pour proxénétisme, sentence: 9 ans fermes, incompressibles, lorsqu'il est sorti sa joie et les sourires l'avaient quitté, 6 mois après: il s'est tué, et comme la mort fauche frappe, à plusieurs portes quand elle traque, à 31 ans, le cannibale est mort d'une attaque, si vite, même pas le temps d'avoir un peu de peine, puis Yvan est parti à Frêne, purger sa peine, c'est pas normal, on a toujours les chiffres pourris, comme dit Passi: "c'est donc ça nos vies?", cogner les mecs tombés à terre, squatter les places les plus chères, foutre la merde et faire de la peine à nos mères, ma génération ne porte plus la truelle mais le schlass pour des coups de crasse dans les ruelles, cruelles, c'est la faute à qui? on s'en branle, c'est pareil frère, de toute manière qui paie les pots cassés, à Marseille c'est les mêmes, j'ai pas le temps de dialoguer, appelez vos sociologues ils pourront me cataloguer

REFRAIN

Freeman

Fataliste, la liste est longue, comme les bongs, les ..., loin des gangs près du monde, à croire qu'on vit pas sur le même pourtant, je suis j'existe, la peste me piste et constat: mieux vaut vivre Un Jour Comme Un Lion que cent comme un chien, la fin est rude, l'habitude de rien bosser au sud au nord, elle crève devant des francs jamais ne dort,dehors, des .'3frits =-diables-=, rêvent d'or, la mort vaut le prix, aigri par le mauvais sort on suit, construit, compte les pavés au milieu des débris, Free au para-dis, oublie jamais ta famille, couz, les douze tournent l'fusil, le ... se perpétue, comme la merde, viens voir qui pue, la poisse si le soir les ... suent, tempérament qu'on t'a quitté, compter sur vos ..., comprend qui veut comprendre mes versets, lancer, un prédateur après un gibier, une note aiguisée, aux français la France déguisée, la merde, une grotte, dur de s'en sortir quand tant d'autres soupirent, que faut-il pour arrêter d'souffrir hein?

-Question sans réponse
-Pense!
Pourtant j'fais qu'ça, l'arabe, du brail, nada, on va dire la chance n'est pas là, allez ma nana, pose au moins pour la blonca, c'est tout c'qui nous reste tu sais